Sunday, December 18, 2011

me and Tom Ford Beauty ... sexy dream !

Depuis que le Printemps de la Beauté, boulevard Haussmann à Paris, a repensé complètement son espace, les plus grandes marques de luxe ont trouvé un écrin pour présenter leurs collections.

Icone du luxe et après avoir présidé à  la renaissance de Gucci pendant 14 ans, Tom Ford a rejoint le groupe Estée Lauder en 2004 pour lancer sa propre ligne de produits de beauté en plus de sa propre ligne d'accessoires et de vêtements pour homme.
A l'occasion de l'inauguration du corner de la marque Tom Ford au Printemps de la beauté le 15 décembre dernier, le voile a été levé sur la femme vue par Tom Ford... sexy, glamour, un brin années 70 façon Lauren Hutton.
Vernis, rouge à lèvre, fond de teint, base, poudre, blush, fard à paupières... mais aussi soins pour se faire un teint velouté et "glowy".
Le packaging est très épuré, laqué de brun et rehaussé par des touches d'or.
Côté prix, la gamme est à ranger dans la catégorie grand luxe... mais nous le valons bien !


Ai-je craqué ?
Même si la gamme de maquillage présente des teintes dites "nude" très douces, l'image de la femme Tom Ford est trop sexy pour moi et je me contenterai de la touche Viper (vernis d'un violet profond) sur mes ongles en rêvant qu'un prince bien charmant m'offre la gamme Neroli Portofino qui est un bonheur pour le sens olfactif ... en plus d'être un bonheur pour les yeux !





Tom Ford Beauty est présentée en quasi-exclusivité au Printemps de la beauté,
vous retrouverez également les gammes de parfums, corps & bain en vente en ligne sur le site Sephora.

l'univers de Tom Ford http://www.tomford.com/#/fr


sans surprise, j'ai donc assorti mon bouquet à mes nouveaux ongles et choisi la tulipe "noire" (violet très profond), merci à mon fleuriste adoré Constantina Bianca !

Tuesday, December 13, 2011

melody at night ... without you


certains soirs... le blues monte ... 
Keith Jarrett dans les oreilles ... Paris is the city of lights 

Sunday, December 11, 2011

e viva Espana !

il arrive que l'on se mette des post-its, des rappels, des articles découpés dans son agenda et puis soudain, on réalise qu'il va bientôt être trop tard lorsque l'on voit une affiche dans le métro avec l'inscription "derniers jours"...
parce que la période des fêtes de fin d'année engendre une activité professionnelle quelque peu agitée, il est bon et utile de se trouver des bulles de détente, de bonheur... des petits moments en dehors du temps pour oublier le quotidien et découvrir encore ...

des peintres espagnols, je connais Velasquez, Le Greco, Picasso, Dali , Goya, Miro et Tapies ... autant dire que si je connais ceux parmi les plus connus, ma culture en matière de peinture espagnole est donc réduite comme peau de chagrin.
c'est en voyant l'affiche du Musée de l'Orangerie que j'ai eu envie d'aller plus loin que ces grands noms... en un regard, la "Grenadina' m'a séduite et c'est comme cela que j'ai rencontré la peinture d'Hermen Anglada-Camarasa.
Le parcours de l'exposition est axé sur deux visions d'une Espagne alors traversée par une grave crise.
Une Espagne noire et sombre marquée par des tableaux de Jose Luis Solana et d'Ignacio Zuloaga qui ne sont pas sans me rappeler Emile Friant qui avec ses toiles comme la Toussaint ou la Douleur a marqué de terreur mes visites enfantines au Musée des Beaux Arts de Nancy.
Une Espagne blanche, pleine de lumières, de couleurs et d'espoir avec les toiles lumineuse de Joaquin Sorolla et d'Anglada-Camarasa.

sans surprise, c'est la version blanche qui m'a conquise ... podria caer en amor con Espana ...

La sieste, Corolla (1911)

Retrato de Sonya Klamery, Anglada-Camarasa 1912

Friso Valenciano, Anglada-Camarasa (1905)
l'exposition L'Espagne entre deux siècles, de Zulaoga à Picasso, de 1890 à 1920, se tiendra jusqu'au 9 janvier 2012 au Musée de l'Orangerie au Jardin des Tuileries (Paris 1er)... l'occasion de succomber encore à son architecture et à la sublime mise en valeur des Nymphéas...