Sunday, September 18, 2011

mama used to say...



live your life !
hmmm non ça c'est le titre d'une chanson dont je ne vous donnerai pas le nom de l'auteur et l'année de sortie avant la fin de ce post.
non, mama used to say : lis toute ta vie !
et je lis dans le métro, dans le train, dans les salles d'attente, sur mon canapé, à la laverie automatique, pendant les vacances, parfois pendant ma pause déjeuner... je lis autant que je peux.


pour ce mois de septembre, j'ai peut-être eu les yeux plus gros que le temps que je peux consacrer à lire mais heureusement je ne suis pas très télévore ... enfin si j'étais abonnée à canal+, je succomberai certainement aux "Borgias", dernière née Showtime, qui promet d'être aussi addictive que "The Tudors" passée sur Arte (bien sûr je regarde ces séries en VO pour le côté éducatif et pas du tout mais alors pas du tout pour les acteurs ... God knows que je ne suis absolument pas séduite par Jonathan Rhys-Meyer qui m'a fait voir Henry VIII sous un autre jour ...mais uniquement par sa diction.



J'ai commencé ma sélection de septembre avec peu d'avance pendant mes vacances en août ... ce n'est pas de la triche mais une simple anticipation sur le fait que septembre serait un mois chaotique et je ne me suis pas trompée.
J'ai attaqué la pile avec de la chick'lit et l'inimitable Candace Bushnell avec Four blondes et Summer and the City, le premier en VO, le second en traduction française... c'était les vacances quand même !
Pas de surprise, le ton est gentiment insolent, les personnages féminins attachants ... un bon moment... mais j'ai nettement préféré Le Diable vit à la campagne (suite de Le Diable vit à Notting Hill) de l'anglaise Rachel Johnson, les héroïnes, Mimi en tête, n'étant pas sans rappeler Edina et Patsy, les quadragénaires déjantées de la série Absolutely Fabulous.
Une plongée amusante dans la campagne anglaise entre la "gentry" locale - tea time, jardinage et parties de chasse - et les néo-ruraux qui veulent retrouver la vie à la campagne en vendant des confitures maison à prix d'or en surfant sur la mode 'home made' et bio.

Il me fallait bien ces 3 romans pour pouvoir attaquer Persécution d'Alessandro Piperno où la plongée en enfer de Leo Pontecorvo, professeur de médecine aussi brillant que respecté, quand il apprend lors d'un journal télévisé qu'il est accusé d'une relation coupable avec une toute jeune fille, mineure et par ailleurs amie de son fils.
L'écriture est acérée parfois cynique, le héros n'en n'est pas un et on pourrait être tenté de le détester si l'auteur ne nous le rendait pas si profondément humain.
Difficile de ne pas lire Persécution sans faire de lien avec l'actualité de cet été et la voir autrement.
Des livres lus depuis début août, Persécution est certainement, avec Un été sans les hommes, celui que je recommanderai sans aucune réserve.

Ont suivi avec délice Les oliviers du Négus (Laurent Gaudé) et La complainte du paresseux (Sam Savage).
Je suis amoureuse des mots de Laurent Gaudé donc je ne saurai pas être objective alors je ne le suis pas... je me suis laissée portée par les histoires liées aux oliviers du Négus et je ne demande rien d'autre que de me laisser portée encore.
J'ai découvert, comme beaucoup, Sam Savage avec le charismatique Firmin, rat de son état et séduisant intellectuel par son esprit. Avec La complainte du paresseux, j'ai retrouvé avec plaisir son écriture décalée et un poil acerbe avec un anti-héros, looser du quotidien et écrivain ignoré dont la succession de mésaventures et d'échecs vous donnent l'impression rafraîchissante d'être béni des dieux.

J'ai dévoré puis relu Un été sans les hommes (Siri Hustvedt).
L'écriture est sans concession (pour les hommes), pleine d'émotions (pour les femmes), une merveille littéraire.
Une pause pleine d'humour british avec Dial M for Merde de Stephen Clarke à lire in english in the text pour apprécier la vision unique de l'auteur sur la France, je vais pouvoir passer au suivant et là j'hésite entre Eleven de Mark Watson et La tentation du homard d'Elisabeth Gilbert ... à moins que je n'ouvre le très sombre Les lames de Mo Hayder.
et comme nous sommes dimanche, no sunday's afternoon without ...
  • un éventail bien nourri de presse féminine 
  • un masque hydratant pour les cheveux (je l'ai dit et le redit, être blonde, c'est du travail)
  • un masque réparateur anti-rides (comment pensez-vous que je puisse fêter ma 34ème année à l'envers sinon ?)
  • une tasse de thé (en ce moment Lov is Pure de Lov Organic et thé à l'Opéra de Mariage Frères)
  • des cookies Michel & Augustin.... haaaaa dérapage, je voulais écrire une grappe de raisin !




et en play-list...
mama used to say, Junior (1982)
à voir ou revoir :
AbFab (Absolutely Fabulous) ou les aventures et mésaventures d'Edina Monsoon et Patsy Stone, quadragénaires déjantées à Londres
The Tudors, série "showtimienne" avec l'irrésistible Jonathan Rhys-Meyer
Sex and the City ... tout mais surtout la 6ème et dernière saison




Saturday, September 17, 2011

try a little tenderness...






roses "Avalanche"
sedum rose
et fusain du japon

ma play-list du week-end avec ou sans rose ...
Kiss from a rose, Seal
Bed of roses, Bon Jovi
La vie en rose ...
Les roses et les promesses, Benjamin Biolay
True, Spandau Ballet
Try a little tenderness, Otis Redding
The look of love, Diana Krall

pas de livre mais des douceurs à  partager ...
Ispahan de Pierre Hermé
Yasmine, cupcake création de Scarlett's bakery
une tasse thé à l'Opéra de Mariage Frères ou de thé vert à la rose de Kusmi




Constantina Bianca 
114 rue de Charonne
75011 PARIS
M° Charonne

Friday, September 16, 2011

me and Jo Malone...


on peut chercher ses clés, son sac, la paire d'escarpins idéale, 
on peut chercher plein de choses et les trouver (ou pas !), 
on peut chercher longtemps, 
on peut chercher toute sa vie et ne jamais trouver...

j'ai cherché et rêvé... 
d'être la dame en noir et son mystérieux parfum,
d'être la femme que l'on ne peut oublier tant son parfum a un sillage unique, envoûtant, captivant...
autant dire que ma quête de ce Graal olfactif  a connu quelques déboires et échecs cuisants.
"Son" parfum, comme signature olfactive, il faut l'identifier, l'apprivoiser, se l'approprier, le faire sien.
Peut-on lui être infidèle une fois qu'on l'a trouvé ?
oui, certainement, mais irrémédiablement, on revient vers lui, on le recherche chez les autres, bref, il nous colle à la peau.

Je me suis glissée dans le parfum de personnes aimées ...
le n°19 d'une grande-tante partie trop tôt, 
l'Ô fraîche et rassurante de ma maman, 
la douceur sucrée de la crème Bergasol de ma grand-mère paternelle, 
la cologne ambrée et le Cuir de Russie de mon grand-père paternel, 
l'odeur envoûtante d'Habanita (surnomé "Fatalitas" par mon père) de ma grand-mère maternelle, 
les embruns et le soleil de Californie de New West (Aramis, qu'on ne trouve plus en France et que je regrette!) d'un homme adoré...

J'ai cherché, parfois aimé ... et puis j'ai rencontré l'orgue de parfums Jo Malone... 


Jo Malone, c'est 21 fragrances classées par famille : citronnés, floraux légers, fruités, floraux, épicés, boisés.
21 fragrances à mixer, combiner, mélanger pour créer son parfum !

crédit photo : http://www.jomalone.fr/decouvrez_les_parfums.tmpl
me and Jo Malone...
terminé mon errance, j'ai trouvé mon parfum, il n'appartient à personne d'autre que moi car il associe selon mon humeur, selon l'heure du jour ou de la nuit, différentes fragrances.

hier, j'ai eu l'occasion de participer à la soirée de lancement d'une nouvelle fragrance, Wild Bluebell 
une soirée placée sous le signe de la campanule bleue des sous-bois et jardins anglais, 
une fleur d'un bleu profond et chatoyant,
une fleur au parfum aussi doux que sauvage, 
la promesse d'un sillage tendre et excentrique comme un jardin anglais !

une soirée au parfum de douce folie avec la présence de deux artistes pour personnaliser les élégantes boîtes Jo Malone à l'image de Wild Bluebell ... une princesse gracile, le souffle d'un papillon, la douceur du lapin blanc ...


Wild Bluebell
notes de têtes : campanule & girofle
notes de coeur : muguet, églantine & jasmin
notes de fond : ambre blanc et musc 





un pschitt de wild bluebell pour vous évader,
une gamme complète pour vous capturer ...

Jo Malone c'est un site internet :
http://www.jomalone.fr/accueil.tmpl

Jo Malone, c'est trois espaces de vente à Paris :
326 rue St Honoré, Paris 1er
Printemps Haussmann
Théâtre de la beauté au Bon Marché







Raphael de Villers et Philippe Goron, artistes en action pour personnaliser chacune des boîtes pour cette soirée de lancement "Wild Bluebell" sous le signe d'une Angleterre onirique et romantique.






Ma play-list ...
les parfums de sa vie, Art Mengo
ton parfum, Magali Noël (texte de Boris Vian)
le parfum, Jenifer
pas un titre mais un trio de japonaises pour le groupe electro-pop Perfume !
Candy perfume girl, Madonna (non je ne fais pas une obsession sur Madonna)
Scentless Apprentice, Nirvana
Perfume, Chris Brown
Spilled Perfume, Pam Tillis (oh yeah un peu de country !)


et lire un peu ? beaucoup ...
Le parfum, Patrick Süskind
Le parfum de la dame en noir, Gaston Leroux
Parfum de meurtre, Anne Pietri & Nathalie Rovi
Petite géométrie des parfums, Brigitte Proust
Plaisirs de parfums, une invitation à sentir autrement, Béatrice Boisserie & Coco Tassel
Parfum d'empire, la vie extraordinaire de François Coty, Alain Duménil
Le parfum, Catherine Donzel

Merci à toute l'équipe Jo Malone du Printemps Haussmann pour cette soirée et un merci spécial à Karine pour chaque moment de partage à la recherche de mon parfum !